10 Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux! 11 Heureux serez-vous, lorsqu'on vous outragera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. 12 Réjouissez-vous et soyez dans l'allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c'est ainsi qu'on a persécuté les ctmi #mikihardy #lesbeatitudes #coronavirus #meditationsquotidiennes Heureuxceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux! Matthieu 19:14 Et Jésus dit: Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le Heureuxceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde. Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu. Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux. Heureux êtes-vous si l’on vous Heureuxceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux ! Matthieu5:10. C’est vrai que nous sommes profondément attachés au sentiment de justice. Même pour un tout jeune enfant, il n’y a rien qui le choque plus que l’injustice. Tout dépend de ce que nous entendons par justice. La norme du bien et du mal, du juste et de l’injuste peuvent 10Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice; car le royaume des cieux est à eux. 11 Vous serez heureux lorsqu'à cause de moi on vous dira des injures, qu'on vous persécutera, et qu'on dira faussement contre vous toute sorte de mal. Jean15:20 : « Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n’est pas plus grand que son maître.S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s’ils ont gardé ma parole, ils Heureuxceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux leur appartient! Accueil. Lire. Plans. Vidéos {{#signedIn}} {{/signedIn}} {{^signedIn}} Se connecter ; S'inscrire {{/signedIn}} Versions; Langues; Aide; Evénements ; Faire un don; Prayer; Devenir bénévole. À propos de; Postes à pourvoir; Blog; Presse; Politique de confidentialité; Conditions; Facebook; Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux. Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira Mat 5. 10-11: Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux leur appartient! Heureux serez-vous lorsqu’on vous insultera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal à cause de moi. Heureux serez vous quand vous souffrirez à cause de moi (dit Jésus). qYfF. L'obstacle majeur tient à l'incapacité pour l'être humain à sortir de soi au point d'aimer l'autre en s'oubliant soi-même. Heureux les artisans de la paix ils seront appelés fils de Dieu. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice le royaume des cieux est à eux !» Ces deux béatitudes sont déconcertantes pour les hommes d'aujourd'hui. Elles parlent de la paix et de la justice, deux mots magiques qui disent ce que nous désirons. Mais elles se heurtent à l'une des tendances les plus fortes de notre société la revendication par chacun de son autonomie et de son bonheur, chacun pour soi. Le bonheur de l'humanité commence par mon bonheur qui souvent se ramène à mon bien-être. Nous disons être bien» dans sa peau. Le Christ, lui, promet le bonheur à ceux qui s'oublient eux-mêmes pour faire la paix, pour défendre la justice. La vraie fraternité entre tous les hommes doit-elle donc être payée d'un prix aussi élevé ? Tous - jeunes ou anciens - posent la même question. [ ] L'un des paradoxes les plus étonnants de notre temps est que, pour reconnaître cette fraternité et repousser l'intolérance, la lutte contre l'intolérance devient elle-même le triomphe de l'intolérance. C'est pourquoi je vous propose maintenant de réfléchir aux deux affirmations paradoxales de Jésus. Heureux les artisans de paix ; ils seront appelés fils de Dieu.» Un mot d'explication sur le sens de cette phrase. D'abord, il faut traduire Heureux pardonnez-moi la rudesse de cette traduction littérale les faisant-la-paix.» Oserais-je dire fabriquent, font surgir la paix», ou mieux encore ceux qui ne cessent de fabriquer la paix» ? Ensuite, ils seront appelés fils de Dieu». Par respect pour Dieu, la langue des Évangiles parle comme Jésus s'exprime, comme s'expriment tous les juifs de son temps à ce sujet. Le passif - ils seront appelés» - désigne une action qui, sans le nommer, a Dieu pour auteur ; passif divin, disons-nous. C'est bien ce dont il s'agit Dieu les appellera fils.» Scruter ainsi les mots donne une puissance et une exigence énormes à cette parole de Jésus Heureux les-faisant-la-paix, ceux qui ne cessent de faire la paix, car Dieu les appellera ses fils.» Faire la paix, créer la paix, ne cesser de faire la paix, comme le suggère cette béatitude, qu'est-ce que cela veut dire ? Sinon surmonter la contradiction insurmontable que nous avons plus ou moins identifiée au début de notre réflexion. Sur quoi fonder le désir de communion qui rassemble les hommes ? Comment remédier aux violences qu'il fait naître ? Car il ne s'agit pas seulement des différences culturelle, physique couleur de peau, ethnique ou sociale ; après tout, cela échappe à la responsabilité humaine ; c'est de l'ordre d'un déterminisme lié à la condition charnelle des hommes et qu'on peut plus ou moins dépasser par davantage d'instruction, d'intelligence, de communication, etc. L'obstacle majeur tient à l'incapacité pour l'être humain à sortir de soi au point d'aimer l'autre en s'oubliant soi-même. Car l'autre est ressenti comme dangereux pour moi s'il ne se soumet pas à ce que moi je veux et à ce que moi je suis. Nous ne sommes pas loin de la formule de Jean-Paul Sartre L'enfer, c'est les autres.» Or, j'ai donné comme titre à notre propos Le bonheur, c'est les autres.» Cette ambition est exactement opposée à la solution humaine la plus spontanée réduire l'autre à n'être que moi-même. [ ] Faire la paix ainsi, c'est littéralement abattre ce que saint Paul avait appelé le mur de séparation» Ep 2, 14 entre l'homme prisonnier de ses idoles et l'homme que Dieu a délivré de toute idolâtrie en lui révélant qu'il est enfant de Dieu. Ainsi, l'homme peut aimer et doit aimer son prochain comme Dieu, le Père, l'aime, lui. Saint Paul poursuit Le Christ a voulu créer en lui un seul homme nouveau, en faisant la paix poiôn eirênên» Ep 2, 15. [ ] Le seul qui peut faire ainsi la paix, qui est faiseur de paix, et ne cesse de la faire, c'est le Messie lui-même, Jésus, comme le dit encore saint Paul dans l'Épître aux Colossiens 1, 20, employant la même expression Il a été le faisant-la-paix, par le sang de sa Croix.» [ ] On comprend alors quel sens extraordinaire prend cette phrase des béatitudes quand elle se conclut par la récompense, le bonheur promis Dieu les appellera ses fils.» Non seulement il les appellera des justes, des saints, mais il leur donnera le titre même de fils de Dieu» qu'il accorde au Fils bien-aimé, le Messie. C'est donc la vocation messianique des disciples de Jésus d'être avec lui, faisant-la-paix par le sang de sa Croix». [ ] Vous me direz nous sommes loin de l'ONU, des échecs pour établir la paix là où en ce moment font rage des conflits. Détrompez-vous. Nous sommes au contraire au coeur de ce processus. Car il nous faut d'abord comprendre pourquoi il y a conflit. [ ] Ils surgissent sans cesse à nouveaux frais là où on ne les attendait pas. [ ] Les lois humaines ne peuvent pas changer les coeurs, parce que les coeurs des hommes, disons le secret de chaque homme est sa liberté, liberté faible, blessée, ambiguë, capable du meilleur comme du pire ; et vouloir l'empêcher par force serait réduire les hommes en esclavage. Telle n'est pas la solution que propose le Christ dans ces Béatitudes. Il s'agit d'être des faisant-la-paix». Donc sur cette racine du mal, de travailler comme il le fait lui-même par une oeuvre de délivrance des libertés dans leurs plus intimes secrets. [ ] Mais pourquoi l'idée de l'échec nous vient-elle ici à l'esprit ? Parce que ce que nous rêvons - une paix idéale - n'est pas arrivé. Nous l'avons évoqué au temps de Noël, Isaïe nous décrivait un univers paradisiaque où le loup habitera avec l'agneau, où le veau et le lionceau seront nourris ensemble, un petit garçon les conduira , le nourrisson s'amusera sur le trou du cobra, sur le trou de la vipère le jeune enfant étendra la main» Is 11, 6-8. Commencez par être des faisant-la-paix», dit Jésus ; et cela, comme une tâche permanente. Il s'agit d'un vrai combat et d'un combat spirituel. [ ] Si par malheur nous arrêtions de combattre, alors ce serait vraiment l'enfer sur terre ; et il faudrait dire que la formule de Sartre est la plus juste qui soit. Un monde infernal, c'est la caricature que parfois nous arrivons à construire les dictatures semblent immortelles ou les esclavages semblent indéfaisables, que ce soit l'esclavage des passions, des drogues, de l'argent, des désirs des autres, etc. [ ] Heureux ceux qui sont persécutés à cause de la justice ; car à eux est le Royaume des cieux.» Il faut comprendre car Dieu leur donnera le Royaume des cieux», c'est-à-dire le Royaume de Dieu, son Royaume ; il les y fera entrer, il leur en donnera part. Cela ne nous surprend pas ; la même bénédiction a été dite par la première des Béatitudes prononcée sur les pauvres de coeur». Mais que veut dire persécutés à cause de la justice» ? Spontanément nous penserions à des héros de la défense des droits de l'homme qui s'opposent aux injustices, qui s'attaquent aux puissants et qui, de ce fait, subissent un sort contraire. [ ]. Est-ce cela que Jésus veut dire ? Pour nous en assurer, il suffit de lire le commentaire qu'il nous en donne. Je vous le dis Heureux êtes-vous quand ils vous insulteront et vous persécuteront, quand ils diront contre vous toute sorte de mal en mentant à cause de moi ; réjouissez-vous, exultez, votre salaire est abondant aux Cieux ; c'est ainsi qu'ils ont persécuté les prophètes, ceux d'avant vous.» [ ] Que veut-il dire en parlant de la justice» ? Pour nous, c'est un terme abstrait ; il recouvre l'idée d'équité, l'idée de justice sociale. Or, ici la justice devient une personne, Jésus à lui tout seul ! Comment ne pas nous rappeler le nom messianique qui sera donné à Jérusalem comme nous l'a rapporté le prophète Jérémie 33, 16 Le Seigneur est notre justice» ? Nous devinons qu'il s'agit d'autre chose et d'une certaine façon beaucoup plus vaste, plus large, plus riche que notre idée spontanée de la justice. C'est quelque chose qui l'assume mais qui la dépasse et l'englobe, qui la déborde de partout. En effet, Jésus est vainqueur du mal au prix de sa Passion, comme nous l'avons vu dans la béatitude des faiseurs-de-paix». Jésus dans ce combat ne se présente pas comme un justicier triomphant, mais sous la figure bouleversante, incroyable, du pauvre qui accepte volontairement de devenir victime, qui supporte tout mal infligé par tous les bourreaux, qui subit toutes les injustices de tous les injustes, qui porte les péchés du monde. Il est vainqueur de l'injustice non pas par la force, mais par le pardon qui vient d'En Haut et par l'amour. C'est littéralement un renversement complet de la condition humaine accompli par le Fils qui s'est fait homme. Dans cette béatitude Jésus donne deux raisons de nous réjouir. Car il s'agit bien de se réjouir» et non plus simplement d'être déclarés heureux. Nous réjouir, exulter dès maintenant et dans ce monde ; donc au milieu de cette tâche immense de subversion du mal par les armes du bien et non avec les armes de la violence. [ ] Ce n'est pas une promesse concernant un futur. Dès à présent, nous touchons infiniment plus aux Cieux», c'est-à-dire en Dieu. Le mot cieux » ne désigne pas un espace vide, au-dessus de la terre et distinct d'elle, mais la réalité divine, plus forte, plus grande que l'homme. Ne nous y trompons pas. Les cieux sont descendus sur la terre avec l'annonce messianique de Jésus [ ]. Dans la persécution que nous redoutons nous avons déjà, dès cette vie, la récompense abondante, surabondante en Dieu. Jésus nous donne une seconde raison de nous réjouir, il nous appelle d'un autre titre C'est ainsi qu'ont été persécutés les prophètes avant vous.» Il nous désigne comme les successeurs des prophètes. Le juste persécuté pour la justice est prophète non parce qu'il dénonce l'injustice, mais parce qu'il fait apparaître la force qui l'emportera sur toute force hostile à la justice. Nous avons déjà part à la victoire du Christ en sa résurrection par le baptême. [ ] Vous le voyez, dans ce combat, au sein de la multitude des hommes dont nous faisons partie, nous sommes le signe et le gage d'une autre manière de vivre, d'une autre communion possible entre les hommes, d'une autre façon de faire pour que les hommes se rencontrent et s'acceptent, dans leurs différences, non plus seulement par simple tolérance, compromis, acceptation des limites, mais par une plus haute communion en Celui qui est à la source de l'existence humaine puisqu'il est le Créateur de tous les hommes. [ ]» Le texte des Béatitudes, qui est l’Évangile lu au cours de la messe de la Toussaint, nous dit à sa manière, que la sainteté est accueil de la Parole de Dieu, fidélité et confiance en Lui, bonté, justice, amour, pardon et paix. Quand Jésus vit toute la foule qui le suivait, il gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent. Alors, ouvrant la bouche, il se mit à les instruire. Il disait Heureux les pauvres de coeur le Royaume des cieux est à eux ! Heureux les doux ils obtiendront la terre promise ! Heureux ceux qui pleurent ils seront consolés ! Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice ils seront rassasiés ! Heureux les miséricordieux ils obtiendront miséricorde ! Heureux les cœurs purs ils verront Dieu ! Heureux les artisans de paix ils seront appelés fils de Dieu ! Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice le Royaume des cieux est à eux ! Heureux serez-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux ! » » Matthieu 5, 1-12a Rédigé par un moine le 05 mai 2020 dans Religion Commentaire de l’allocution lors de l’Audience générale du 29 avril 2020. Avec la dernière des béatitudes, celle des persécutés, nous entrons en plein dans le mystère insondable de la Passion du Christ qui doit se prolonger dans ses membres, car le disciple n’est pas au-dessus du maître ». Le martyre est semence de chrétiens. La sainteté est liée à la Croix, incontournable et toujours féconde de sainteté. Au début de l’histoire de l’Église, la sainteté s’est identifiée au martyre. Par ses martyrs, l’Église a suivi et suit encore de nos jours la voie douloureuse de la Rédemption. Le sang des martyrs coule à flots en nos siècles apocalyptiques, mais il ne faut pas se croire supérieur pour autant. Le martyre est une grâce. Le courage devant la Croix ne s’improvise pas et les choix de Dieu ne sont pas les nôtres. Mais soyons au moins tous de vrais témoins du Christ. Et la persécution demeure le lot privilégié de tous les chrétiens haïs par amour pour le Sauveur du monde. L’Église, Corps mystique du Christ, doit s’identifier à son Maître et à sa suite marcher sur la montagne du Calvaire. Le martyrologe de l’Église s’est écrit à travers le monde entier. Mais cette béatitude si bien analysée par le Pape ne vise pas que les martyrs, car à côté de la persécution du sang, il y a aussi la persécution blanche, plus cachée mais non moins perverse. Jean-Paul II, lors de la veillée nocturne à Lourdes, le 14 août 1983, en avait bien analysé les diverses composantes. Cette béatitude en effet rappelle que tous les élus participants à la joie eschatologique devront au préalable être persécutés pour la justice. C’est pourquoi elle annonce la même félicité que la première le royaume des cieux. La première des béatitudes constitue la source de toutes les autres, la dernière étant leur couronnement. Toutes les béatitudes conduisent en effet à la dernière et l’on peut considérer chacune d’elles comme un maillon du long chemin pascal qui y conduit. Ceux qui appartiennent au monde et à son prince ne prennent pas ce chemin. Ils suivront le chemin des malédictions que nous donne saint Luc. Tout chrétien doit faire à la suite du Christ le choix décisif entre la lumière qui conduit au vrai bonheur et les ténèbres qui conduisent à un bonheur superficiel et apparent, mais qui s’avère par la suite cruellement vide. On a ici l’illustration des deux fascinations qui s’offrent à nous celle de Dieu ou celle de la bagatelle nugacitatis. Mais on doit faire une remarque importante. La huitième béatitude ne concerne pas n’importe quelle persécution. Comme le remarque saint Augustin, ce n’est pas la souffrance, mais la cause de celle-ci qui fait le martyr ». Il s’agit d’être persécutés pour le nom du Christ, imitant alors l’exemple d’amour suprême qu’il nous a donné. Si l’on souffre vraiment pour défendre la foi, avec le Christ, portant sa croix à sa suite, alors on comprendra vite que la persécution peut devenir une source de liberté profonde et une vraie béatitude. Nous ne serons sel de la terre et lumière du monde » qu’à ce prix. Prenons garde à ce que jamais le sel de nos vertus s’affadisse. Il ne sera bon alors qu’à être jeté. N’ayons pas peur d’être rejetés par les hommes, pour vivre de l’Esprit Saint, en union avec son épouse Marie. C’est l’Esprit Saint qui nous soufflera ce qu’il faut dire à nos persécuteurs. Le Royaume des cieux appartient aux pauvres en esprit et aux persécutés. En avons-nous conscience et somme-nous prêts à le conquérir avec l’énergie de ceux qui ne se laissent pas intimider par les maximes du monde et qui pensent que rien ne peut nous séparer de l’amour du Christ » ? Que Marie nous aide à porter notre croix et à souffrir pour son Fils. Réseaux sociaux