Netflixau cœur d’une polémique à cause d’un spectacle jugé transphobe Des militants LGBTQ reprochent à Netflix son soutien à l’humoriste Dave Chappelle, dont le spectacle «
Lespectacle s’est conclu avec un enchaînement de succès en rappel : Daylight, Memories, She Will et Sugar. Jusqu’à la fin, les festivaliers sont restés accrochés aux lèvres du chanteur
LeFlambeau, pas tout à fait à la hauteur de La Flamme [critique] La saison 2 de la série réinvente le concept mais peine à trouver son ton dès qu'elle s'éloigne un
Le théâtre, la danse, les arts du cirque, la marionnette, l'opéra, le spectacle de rue: tout cela fait partie du spectacle vivant», énumère Margot en longeant un couloir au rez-de
Pourcelui qui est dedans, l'immanence signifie le sérieux, l'absence de forme, la clôture intestinale, la certitude de mourir ; mais pour le joueur l'existence demeure ouverte, et les formes filles du libre arbitre, allègent la fatalité compacte. Ouverte et fermée, claire et obscure, telle apparaît la vie quand on est à la fois dedans et dehors. » Vladimir Jankélévitch, "Philosophie
Lemême dispositif d’avoirs instauré pour les manifestations culturelles et les manifestations sportives a, lui aussi, pris fin le 15 septembre. Désormais, si un spectacle ou une manifestation sportive est annulé en raison de la pandémie de covid, vous devez être remboursé de la prestation non réalisée (article 1217 du code civil).
Aujourdhui, rencontre avec Allan, aide-soignant à l’Ehpad « Les terrasses » à Bois-Guillaume. Il est 14 h à la maison de retraite « Les terrasses » à Bois-Guillaume. Allan, 28 ans
Unenouvelle expérience pour la Picarde Élodie Gossuin qui prête sa voix à Victoria Moon, personnage du film d’animation « Tad l’explorateur et la table d’émeraude »
Bienau contraire : « Si à un moment une scène ne nous amuse plus, on la retirera. Certains à la fin du spectacle peuvent pointer du doigt
Auprogramme : un spectacle mêlant acrobatie et burlesque, avant de laisser place à un ballet cycliste et musical. Revivez, comme si vous y étiez, cette soirée de rire et de figures virevoltantes.
yWFTS. Publié le 27/06/2022 à 0511 Il y a quelques jours, les 120 élèves des 5 classes du RPI de Mercus-Amplaing ont donné leur spectacle de fin d’année, orchestré par Muriel Morelle, la Compagnie Vent de Sable, et Luc Pezeux pour la partie marionnette. Ce projet de classe artistique, travaillé toute l’année durant, a permis à tous les enfants, des plus jeunes aux plus grands, de s’intégrer au spectacle, de manipuler des instruments de musique, de chanter, et de se familiariser avec le monde des marionnettes. Le meilleur d’eux-mêmesAprès s’être investis toute l’année dans ce projet, inutile de dire que les jeunes interprètes ont adoré se produire en public ! "Si la répétition générale était un peu fouillis, relève Murielle Morel, la présence du public a dynamisé les enfants et ils ont donné le meilleur d’eux-mêmes." Le voyage musical qu’ils ont interprété était à la fois visuel et sonore, avec des bruitages, des ambiances d’eau, de fête d’Afrique, d’Asie et du Brésil. Grâce notamment à la présence d’Eric Pédoussat à la technique, ce spectacle a pu être donné dans de très bonnes conditions. Pour les enfants, c’est une expérience unique, et pour les enseignants un merveilleux souvenir.
Rugby CompétitionsVidéosAidePlusS'abonnerTous les sportsAccueilLa Grande MêléeTop 14Pro D26 NationsCoupe du Monde FéminineFrance 2023Champions CupTransfertsChallenge CupSevens PremiershipUnited Rugby ChampionshipCoronavirusAutumn Nations CupSuper Rugby InternationalMondial -20 ansRugby Championship Test MatchBarbariansRugby à XIIIFémininesOscars Midol NationaleFédérale 1Fédérale 2Fédérale 3A proposApplication IPhoneApplication AndroidConditions Générales d’Utilisation Politique de confidentialité Politique de cookiesGérer les préférences TOP 14 - À un peu plus d’une semaine de la reprise du Top 14, neuf clubs de l’Élite tireront leurs dernières cartouches avant le coup d’envoi de la saison. Parmi les affiches de cette fin de semaine, un alléchant Toulon-Toulouse, la rentrée de La Rochelle ou l’affrontement entre Clermontois et Bordelais… Découvrez le programme des derniers matchs amicaux ! Castres-Connacht mercredi 24 août, 2000 Après leur premier galop d’essai face à Montauban, les Castrais défient le Connacht avec une équipe bien plus proche de celle de la dernière finale du Top 14. Si les recrues et une majorité d’espoirs ont été testés à Sapiac, Pierre-Henry Broncan affrontera la province irlandaise avec nombre de ses cadres. À Mazamet, les supporters castrais pourront réellement observer l’état de forme de leurs protégés avant un déplacement périlleux au Racing 92 la semaine suivante. Gaëtan Barlot, Tom Staniforth et autres Adrea Cocagi seront notamment titulaires face au Connacht. Toulon-Toulouse jeudi 25 août, 1930 Dans ce duel de rouge et noir, les Toulonnais doivent réagir. Après sa première défaite face à Clermont, le RCT monte encore d’un cran en recevant le Stade toulousain à Mayol. Comme la semaine dernière, Ihaia West et Waisea seront absents, à l’inverse de Dany Priso et Charles Ollivon. Le capitaine toulonnais retrouvera sa place au coeur de la troisième ligne rouge et noire. L’objectif de ce second match sera d’être plus discipliné et précis que la semaine passée. Le Stade toulousain lui jouera son seul match de préparation et pourra s’évaluer face à une formation déjà revancharde. La Rochelle-Stade français jeudi 25 août, 2000 L’heure de la rentrée a sonné à La Rochelle. Les Maritimes joueront leur seul et unique match amical face au Stade français avant de défier le champion de France montpelliérain le 3 septembre. Après une intersaison mouvementée dans le sens des départs comme celui des arrivées, les Rochelais écrivent une nouvelle page de leur histoire. Obsédés par la quête de nouveaux titres, les hommes de Ronan O’Gara vont se jauger face aux Parisiens. La bande de Gonzalo Quesada a l’avantage d’avoir déjà joué un match amical et d’arriver à Marcel-Deflandre avec de sérieuses ambitions. Sefanaia NAIVALU Stade françaisIcon Sport Brive-Racing 92 vendredi 26 août, 1900 Brivistes et Franciliens vont conclure leur préparation pour la bonne cause. Le CAB et le Racing 92 joueront en faveur de l’ARCAD Aide et Recherche en Cancérologie Digestive, puisqu’une vente aux enchères aura lieu en marge de la rencontre et une partie des recettes sera reversée à l’association. Sportivement, le spectacle devrait être au rendez-vous entre deux formations en confiance après leurs victoires respectives sur Bristol et Perpignan. La rencontre aura lieu à Terrasson Dordogne et commencera à 19 heures. Clermont-Bordeaux-Bègles vendredi 26 août, 2000 Dernière répétition également pour Auvergnats et Girondins. En confiance après leur sortie convaincante à Toulon, le Clermontois retrouveront leur public à Issoire Puy-de-Dôme face à une équipe bordelaise revancharde. Défaits contre Bayonne la semaine passée, les hommes de Christophe Urios voudront se racheter, eux qui entameront leur championnat à Toulouse. Les deux effectifs devraient être quasiment au complet pour être dans les meilleures conditions avant le coup d’envoi du Top 14.
Plusieurs artistes ont fait paraître le 07 février 2012, dans le journal Libération, une tribune qui vise à pousser le gouvernement dans des interventions liberticides. Il s'agit d'interdire la revente de billets de spectacles. Plus précisément lorsqu'elle s'exerce sans l'autorisation du producteur ou de l'organisateur du spectacle en question ce qui n'est évidemment pas anodin. Sur le papier, l'idée est simple il faudrait éviter que des spectateurs payent plus cher que le prix initial des billets pour assister à un spectacle. Du coup, certains parlementaires se fendent d'amendements et de propositions de loi en ce sens. Les élections présidentielles approchant, il faut bien séduire les artistes et producteurs de spectacles, tout en donnant l'impression à l'internaute féru de spectacles qu'on se préoccupe de son sort. Il y aurait donc urgence à traiter le gravissime problème certains ont même parlé de "fléau" de la revente de billets de spectacles. A grand renfort de textes, de campagnes de communication et de dépêches AFP. Tout ça avant la fin de la 13e législature s'il-vous-plaît. Au moins pendant qu'on parle de ça, on ne parle pas du déficit du commerce extérieur de la France qui a atteint un niveau record de 69,59 milliards d'euros en 2011. Ce n'est sans doute pas la priorité. Cette avalanche d'initiatives législatives pas moins de trois propositions de lois et d'innombrables amendements en l'espace de trois ans visant à interdire la revente de billets se fait donc au nom de l'accès à la culture, de la protection des consommateurs et de la sauvegarde de l'ordre public. Un marché en pleine expansion Tout ça est fort louable en apparence. Mais à y regarder de plus près, l'enjeu est autre. Selon Forrester Research1, le second marché de la billetterie atteindra 4,5 milliards de dollars aux USA en 2012, ce qui représente une croissance de 12% sur les cinq dernières années. En Europe, le second marché serait, selon certains observateurs, valorisé de 3,5 à 5 milliards d'euros. Les producteurs de spectacles entendent donc bien en profiter. Déjà en septembre 2008, Daniel Colling, directeur du Zénith de Paris et du Printemps de Bourges, indiquait que la billetterie de spectacle se dirige doucement mais sûrement vers le yield management, ou tarification en temps réel, à l'instar du transport aérien, ferroviaire, ou de l'hôtellerie Vivendi ne s'y est pas trompé. Fin 2010, ce groupe a racheté Digitick, un site de billetterie en ligne du premier marché, pour 45 millions d'euros. En 2009, Digitick était entré dans le capital de zePass, une plateforme de revente de billets. Par cette opération, Vivendi intervient donc désormais sur le premier et sur le second marché. Depuis, zePass a proposé des partenariats à plusieurs organisateurs de spectacles les Vieilles charrues pour son festival, les Restos du coeur pour les concerts des Enfoirés... L'objectif est simple faire en sorte que les reventes de billets se fassent exclusivement par zePass, qui perçoit une rémunération sur chaque transaction réalisée par son intermédiaire. Lorsqu'un spectacle est complet sur Digitick, un lien renvoi l'internaute vers zePass pour l'inviter à y trouver un billet "d'occasion". La boucle est bouclée, et le spectateur est captif. Des mesures anticoncurrentielles et défavorables aux consommateurs L'évolution est prévisible sur le modèle Digitick - zePass, les producteurs ou organisateurs s'accorderont, avec la bénédiction du législateur, des autorisations discrétionnaires entre eux, via des structures avec lesquels ils entretiendront des liens capitalistiques et revendront ainsi eux-mêmes les billets à prix majorés. Pour le spectateur-consommateur, rien ne changera. Il devra toujours payer le billet à un prix supérieur à son prix initial. Ainsi, aux Etats-Unis, le site Ticketmaster du premier marché gère également Tickets Now du second marché. Le 2 février 2009, des billets pour plusieurs concerts de Bruce Springsteen étaient mis en vente. Problème dès les premières minutes de la mise en vente, le candidat-spectateur qui se connectait sur le site de Ticketmaster voyait le message "No tickets found". Il était ensuite redirigé vers le site Tickets Now où les billets en question lui étaient proposés au double, au triple ou au quadruple de leur prix initial. Les artistes ne sont pas en reste en mai 2011, il a été révélé que la chanteuse Katy PERRY faisait figurer dans certains de ses contrats une clause l'autorisant à ne pas mettre en vente une partie des billets pour ses concerts afin de les proposer ensuite directement sur le second marché, à prix majorés. En France, en octobre 2011, Ticketnet aurait lancé une plateforme avec le site proposant aux organisateurs de manifestations du yield management, ou tarification dite "en temps réel". Les initiatives législatives actuellement en cours d'examen en France tombent donc à point nommé. En soumettant la revente de billets à l'autorisation des organisateurs de spectacles, elles offrent à ces derniers un verrouillage en bonne et due forme du marché de la distribution de billets de spectacles, à leur seul profit et in fine au détriment du consommateur. Ainsi, le législateur favorise non seulement le dumping mais pénalise également le consommateur, puisqu'il exclut des indépendants du marché de la distribution de billets et fausse, pour ne pas dire empêche, le libre jeu de la concurrence. En effet, les sites de revente prennent des risques et pratiquent parfois des prix inférieurs à la valeur faciale lorsqu'ils ne parviennent pas à revendre les billets qu'ils ont achetés. François Thominet, directeur général de Ticketnet a d'ailleurs déclaré L'acharnement du législateur à interdire la revente de billets relève donc moins de la protection du consommateur que d'une volonté d'éliminer toute concurrence de ce que certains organisateurs de spectacles considèrent comme leur domaine réservé. Saisie en 2009 de ce dossier, l'Autorité de la concurrence enquête depuis la fin de l'année 2010 sur les pratiques déployées par certains producteurs de spectacles pour entraver les indépendants intervenant sur le marché de la distribution de billets dans l'exercice de leur activité. Quand les producteurs de spectacles deviennent législateurs Dans ce contexte, le travail législatif visant à interdire la revente de billets est mené dans la précipitation, et avec un acharnement des plus manifestes, sous l'impulsion notamment de certains producteurs de spectacles. En l'espace d'à peine trois ans, ce sont a minima trois propositions de loi qui ont été déposées sur le sujet, ainsi que d'innombrables amendements qui pour certains sont des cavaliers législatifs. Le Conseil Constitutionnel a d'ailleurs censuré, le 10 mars 2011 décision n° 2011-625 DC une disposition visant à interdire la revente de billets de spectacles sur Internet. Quelques semaines après, le 5 avril 2011, le ministère de la Culture a chargé Jacques Renard d'une mission d'étude sur "la situation actuelle de la billetterie du spectacle vivant". Jacques Renard étant le directeur du Centre national des variétés, de la chanson et du jazz CNV, institution chargée de collecter la taxe sur les spectacles et qui regroupe au sein de ses commissions les principaux producteurs de spectacles français, il ne fait nul doute que ce rapport a été établi avec la plus grande impartialité et toute l'objectivité nécessaire. On y apprend tout de même que Et que Le texte visant à soumettre la revente de billets à l'autorisation des producteurs de spectacles a donc été rédigé par le Prodiss syndicat des producteurs, diffuseurs et salles de spectacles, autrement dit par... les producteurs eux-mêmes. Certains seraient tentés d'en déduire qu'ils veulent s'accaparer le second marché. Pourtant il s'agirait, nous assure-t-on, de protéger le consommateur et de sauvegarder l'ordre public. Des arguments gratuits et jamais démontrés Pour nous vous en convaincre, les arguments les plus incroyables ont été avancés les revendeurs utiliseraient des robots qui achèteraient les billets en masse sur Internet, ou bien ils seraient "organisés en bande", se présentant à cinquante dans les points de vente pour acheter tous les billets lors de la mise en vente et assécher le marché. Ca fait froid dans le dos. Pire, par le truchement de la revente de billets, les supporters d'équipes adverses pourraient, selon Muriel Marland-Militello, se retrouver mélangés lors de manifestations sportives et s'entretuer. Sur ce point il faut tout de même relever que lors de l'achat d'un billet pour une manifestation sportive auprès d'une enseigne du premier marché, aucun contrôle n'est effectué quant à l'appartenance de l'acheteur à telle ou telle équipe, qui peut donc parfaitement se retrouver assis à côté d'un supporter de l'équipe adverse ayantacheté son billet quelques secondes après lui. On voit donc mal en quoi le risque serait amplifié par l'existence de sites de revente. Toujours selon Muriel Marland-Militello, il existerait sur Internet pas moins de 200 "fausses billetteries", chiffre lancé à l'emporte-pièce et jamais étayé ni confirmé d'une quelconque manière. Mais qu'importe, il s'agit de faire peur et, pour mieux justifier une intervention législative, de donner au phénomène une ampleur qu'il n'a pas. Dinh Thien Ngo, président de Camus productions, prétend d'ailleurs quant à lui avoir recensé "une dizaine de sites". On n'est pas à 190 près. Une dizaine de sites. Voilà donc finalement ce qui mobilise le législateur depuis près de deux ans et qui occupe régulièrement les media et maintenant les artistes. Il fallait bien ça. La revente sera exercée par les producteurs eux-mêmes Au final, on devine aisément ce que ce texte prépare, soumettant la revente de billets à l'autorisation de l'organisateur du spectacle. Les organisateurs et producteurs de spectacles auront le monopole de la distribution des billets, à la vente comme à la revente. Ils mettront en place des partenariats entre eux, qui leur permettront de revendre les billets eux-mêmes à prix majorés. Pour le consommateur-spectateur, rien ne changera. Ceux qui font mine de se préoccuper d'eux et de les défendre aujourd'hui leur revendront eux-mêmes les billets demain, à prix majorés. En outre, il existera toujours une demande pour des billets rares, et des acteurs indépendants persisteront probablement à vouloir la satisfaire. En sanctionnant leur activité, le législateur ne fera que transférer les transactions correspondantes vers un marché noir redynamisé, et exclure les entreprises françaises d'un marché sur lequel des entreprises étrangères continueront d'intervenir, notamment via Internet, au détriment de l'Etat français qui ne percevra aucun impôt sur ces transactions et qui aura réussi à décourager toute initiative et toute création d'emploi dans ce domaine. Tout cela pour accorder un monopole à quelques producteurs de spectacles. Les défenseurs de cette position sont finalement d'habiles communicants, qui tentent de faire passer pour une mission philanthropique leurs visées protectionnistes et mercantiles et leurs intentions de mainmise sur le second marché.