ActuelprĂ©sident du Conseil Constitutionnel français et ancien prĂ©sident de l’AssemblĂ©e Nationale, Jean-Louis DebrĂ© est unanimement reconnu comme l’un des meilleurs prĂ©sidents de l Les Ă©lĂ©ments de la revue de presse sont sĂ©lectionnĂ©s Ă  titre informatif et ne reflĂštent pas nĂ©cessairement la position du ComitĂ© LaĂŻcitĂ© RĂ©publique.] "Selon l’ancienne journaliste du « New York Times » Bari Weiss, l’obsession culturelle de ne pas offenser est en partie responsable de l’attaque contre l’écrivain." IlsĂ©duit par l'intensitĂ© de son jeu et son swing Ă©lĂ©gant et raffinĂ© Il est entourĂ© de grands musiciens de jazz, Romain Thivolle Ă  la guitare, Corentin Lucas aux percussions et Jean-Marc Pron Ă  la contrebasse. Ă  19h, dĂ©gustation vins PossibilitĂ© de restauration sur place Le Foodtruck Tonton Burger vous rĂ©galera avec ses burgers frites maison, et ses salades fraĂźches Planchas Jen’ai pas lu le plus rĂ©cent livre du journaliste de gauche appelĂ© Guillaume DebrĂ©, fils de Jean-Louis. Je ne le lirai pas. Les premiĂšres pages disponibles sur le site de la librairie en VIRIBLUE. Accueil; Je Commande Vite ! FAQ ; guillaume debrĂ© age wikipĂ©dia Le21 Exclusif - Jean-Louis DebrĂ© et ses fils Guillaume et Charles-Emmanuel - PersonnalitĂ©s au 13Ăšme dĂ©jeuner PĂšres & Fils 2018 au CafĂ© de la Paix Ă  Paris. Le 21 juin 2018 © Julio Piatti / Unebelle idĂ©e de cadeau pour comprendre le quotidien sur le Bassin d’Arcachon des ostrĂ©iculteurs et l’histoire de ces gestes ancestraux, de ces coutumes qui se perpĂ©tuent. Mais avant de dĂ©couvrir cet ouvrage de 144 pages aux Editions Albin Michel, nous avons (encore Ă  Arcachon) rencontrĂ© DebrĂ© fils (Guillaume) et DebrĂ© pĂšre (Jean-Louis). ALGÉRIE Écrit par ; Charles-Robert AGERON, Sid-Ahmed SOUIAH, Benjamin STORA, Pierre VERMEREN, Universalis ‱ 42 397 mots ‱ 22 mĂ©dias; Dans le chapitre "Dans l'engrenage de Eneffet, quand Jacques Chirac et Edouard Balladur se font face lors de la prĂ©sidentielle de 1995,Jean-Louis et Bernard DebrĂ© affichent leurs convictions diffĂ©rentes Bernard DebrĂ© Ă©tait ministre de la coopĂ©ration d'Edouard Balladur tandis que Jean-Louis accompagnait.Il y a aussi eu ces mots durs de Jean-Louis DebrĂ©, alors qu'il refuse de parler Leslivres de Jean-Louis DEBRÉ achat en ligne au meilleur prix sur la e-librairie E.Leclerc. KTjDgNt. Je n’ai pas lu le plus rĂ©cent livre du journaliste de gauche appelĂ© Guillaume DebrĂ©, fils de Jean-Louis. Je ne le lirai pas. Les premiĂšres pages disponibles sur le site de la librairie en ligne Amazon m’ont amplement suffi. C’est Ă  l’évidence un livre dĂ©bile, dĂ©sinformateur, arrogant, Ă©crit par un journaliste français qui se pense supĂ©rieurement intelligent, qui a Ă©pousĂ© une AmĂ©ricaine de gauche et qui semble aussi dĂ©bile que son livre. Il a passĂ© seize ans aux Etats-Unis, sans doute dans l’une des grandes villes de la cĂŽte Est. Il semble ĂȘtre allĂ© chez ses beaux-parents en se pinçant le nez et en les prenant pour des abrutis, puisqu’ils votent Trump. Le livre qu’il a Ă©crit doit ĂȘtre les deux centiĂšmes Ă  cracher sur Trump Ă  ĂȘtre paru en langue française. C’est aussi avec Le monde selon Trump de Nicole Bacharan l’un des plus consternant par la bĂȘtise qui l’imprĂšgne. Le sujet du livre est les tweets de Trump. Et le livre s’appelle Je twitte donc je suis. Ce que Guillaume DebrĂ© n’a visiblement pas compris est que Trump a choisi de recourir aux tweets pour communiquer de maniĂšre directe avec la population amĂ©ricaine, sans que ses paroles soit filtrĂ©es et dĂ©formĂ©es par les journalistes de gauche dĂ©biles et nocifs tels que Guillaume DebrĂ©. Et ce qu’il n’a pas compris est que cela fonctionne 78 millions de personnes suivent Trump sur Twitter. Ce qu’il n’a pas compris non plus est que Donald Trump a un immense sens de l’humour, et comme Guillaume DebrĂ© est trĂšs bĂȘte, il prend ce que Trump Ă©crit au deuxiĂšme ou au troisiĂšme degrĂ© au premier degrĂ©. Guillaume DebrĂ© a l’intelligence du taureau qui fonce en direction du chiffon rouge qu’on agite devant lui. Aux Etats-Unis, les journalistes de gauche dĂ©biles du style de Guillaume DebrĂ© se gardent bien de dĂ©battre avec des journalistes conservateurs, car ils savent qu’au bout de trente secondes leur imposture deviendrait flagrante. En France, ils se trouvent trĂšs rarement devant des journalistes conservateurs, car il y en a trĂšs peu, et qu’ils appartiennent Ă  une espĂšce en voie de disparition. Ce que Guillaume DebrĂ© se garde bien de dire est que Donald Trump peut Ă©crire de maniĂšre vive, mais le fait toujours en riposte aux attaques ignobles dĂ©versĂ©es contre lui par des journalistes de gauche qui ont la dĂ©bilitĂ© non seulement nocive, mais haineuse. Il accuse Donald Trump de “diviser l’AmĂ©rique” et ne dit pas que Donald Trump dans chacun de ses discours, et j’en ai Ă©coutĂ© beaucoup, tient des paroles s’adressant au peuple amĂ©ricain tout entier, sans distinction de race, de religion ou de conviction, mais se trouve sans cesse confrontĂ©, depuis la premiĂšre seconde de son accession Ă  la prĂ©sidence, Ă  des journalistes de gauche qui ont la dĂ©bilitĂ© haineuse, et Ă  des politiciens de gauche sordides et enragĂ©s tels que ceux qui transformant les dĂ©bats organisĂ©s au cours des Ă©lections primaires dĂ©mocrates en pugilat verbal frĂ©nĂ©tique. Ce dont Guillaume DebrĂ© se garde bien de parler est de la politique suivie par Donald Trump, sans doute parce qu’il a l’esprit engluĂ© dans sa propre dĂ©bilitĂ©. Je pourrais dire qu’il parle d’abord et qu’il rĂ©flĂ©chit aprĂšs, mais la deuxiĂšme partie de la phrase serait en trop. Il parle d’abord, et s’abstient de rĂ©flĂ©chir. J’ai dĂ©couvert son livre en regardant une Ă©mission de Pascal Praud, que je prenais pour un journaliste intelligent, mais en prĂ©sentant le livre, Pascal Praud a dĂ©crit Trump en quelques adjectifs tirĂ©s du livre de Guillaume DebrĂ© et s’est abaissĂ© au niveau de Guillaume DebrĂ© il a dĂ©crit avec dĂ©lectation Trump comme “grossier, vulgaire, dĂ©bile et violent”. Il a citĂ© des traductions de tweets de Donald Trump qui sont dĂ©fectueuses et malveillantes. Guillaume DebrĂ© traduit crooked Hillary par “Hillary la pourrie”, alors qu’une traduction digne de ce nom dirait “Hillary la tordue”, ou “Hillary la tortueuse”. Ce qui est une description pertinente de Hillary Clinton. Sur le plateau, il y avait Harold Hyman, un journaliste de gauche malhonnĂȘte plĂ©onasme avec lequel j’ai Ă©tĂ© invitĂ© Ă  dĂ©battre lors d’une de mes confĂ©rences en France il y a quelques mois. Ses raisonnements face Ă  moi Ă©taient si piĂštres et d’une telle mauvaise foi qu’il s’est fait constamment huer par la salle. A la tĂ©lĂ©vision, le public est Ă  distance, et donc il est possible de tenir des propos malhonnĂȘtes sans se faire huer. Harold Hyman a dĂ©crit une rĂ©ponse de Donald Trump Ă  un journaliste CNN appelĂ© Jim Acosta, et a dit que Trump avait Ă©tĂ© “agressif” avec ce journaliste et avait “diffamĂ© CNN”. Deux mensonges en une seule phrase ! Trump n’a pas Ă©tĂ© agressif avec Jim Acosta, il lui a dit qu’il Ă©tait malhonnĂȘte parce que Jim Acosta ne cesse de mentir sur Trump, et Trump appelle menteur un menteur. Une dĂ©finition n’est pas une agression. Jim Acosta, lui, s’est montrĂ© souvent agressif, y compris agressif physiquement avec une assistante de Trump. Vivant aux Etats Unis, je peux le voir, ce qui n’est pas le cas des tĂ©lĂ©spectateurs français. Trump dĂ©nonce rĂ©guliĂšrement CNN en utilisant une expression qu’il a forgĂ©e et qui est reprise dĂ©sormais dans le monde entier, fake news. Et il a entiĂšrement raison. CNN dĂ©bite des fausses nouvelles Ă  jet continu, Ă  un point tel que lorsque je passe sur CNN pendant la pause publicitaire d’une chaine d’information, Fox News, j’ai rapidement la nausĂ©e, et je prĂ©fĂšre retourner vers Fox News qui est, oui, une chaine d’information. Sur chaque sujet traitĂ© depuis le dĂ©but de la prĂ©sidence Trump, ce qui a Ă©tĂ© dit sur Fox News s’est vĂ©rifiĂ©, tout ce qui a Ă©tĂ© dit sur CNN a Ă©tĂ© rĂ©futĂ© et s’est effondrĂ©. Il y avait sur le plateau de l’émission Sophie de Menthon, une femme que je connais bien et que j’estime, et elle a pu dire quelques mots pertinents. Bien trop peu. Il y avait aussi un homme pour qui j’ai de l’amitiĂ© depuis longtemps, car il fait partie de ceux qui sauvent l’honneur du journalisme français, Ivan Rioufol, et il a rappelĂ© que Trump avait une stratĂ©gie et une doctrine, obtenait des rĂ©sultats et incarnait une pensĂ©e politique qui gagne du terrain sur la planĂšte, le conservatisme national. Ivan a aussi dit que Donald Trump dĂ©fendait ceux que les Ă©lites autoproclamĂ©es de la cote Est mĂ©prisent. Il est dommage qu’il n’ait pu en dire davantage. Il s’est attirĂ© le sourire ironique de Guillaume DebrĂ©, bien sĂ»r
. Il en va ainsi dans les dĂ©bats Ă  la française un ocĂ©an d’ignominie est censĂ© se trouver compensĂ© par un milligramme d’intelligence et de pertinence
 J’ai bien trop parlĂ© de Guillaume DebrĂ© et de son livre. Je ne l’ai pas lu et je ne le lirai pas, non. Je voulais en parler car c’est un Ă©chantillon de la dĂ©sinformation Ă  la française sur Trump, juste un Ă©chantillon. Guillaume DebrĂ© avait Ă©crit auparavant deux livres sur Obama, qu’il avait dĂ©crit comme “fascinant d’intelligence”. Tout un programme
. Je conseille plutĂŽt Ă  ceux qui me lisent la lecture du plus rĂ©cent livre d’Ivan Rioufol, sur lequel je reviendrai. Le livre s’appelle Les traitres. Guillaume DebrĂ© n’y est pas citĂ©, mais le livre d’Ivan Rioufol dĂ©crit les gens de l’espĂšce de Guillaume DebrĂ©. Guillaume DebrĂ© est censĂ© ĂȘtre journaliste. Il ne l’est pas. Je ne peux pas mĂȘme le qualifier de propagandiste. Il n’est pas assez intelligent pour ĂȘtre un propagandiste digne de ce nom. Il est prĂ©sentĂ© comme spĂ©cialiste des Etats-Unis. C’est un bien beau spĂ©cialiste, digne de figurer au cĂŽtĂ© de Nicole Bacharan, Corentin Sellin, Jean Eric Branaa. Ils disent n’importe quoi dĂšs qu’ils ouvrent la bouche. Ils ne peuvent pas organiser de diners de con ils sont tous hors concours et ne pourraient dĂ©signer parmi eux lequel mĂ©rite le titre d’invitĂ© de dĂ©shonneur. © Guy MilliĂšre pour Toute reproduction interdite sans l’autorisation Ă©crite de l’auteur. PS. Je viens de lire un article d’un dĂ©nommĂ© Ran Halevi. Je ne connais pas Ran Halevi, et je n’ai pas envie de le connaitre. Il devrait rencontrer Guillaume DebrĂ©, ils ont beaucoup en commun. Ran Halevi est directeur de recherche au CNRS. Il devrait savoir de quoi il parle et respecter la connaissance. Il Ă©crit dans l’article ce qui suit “Ce sont les agissements dĂ©lictueux du prĂ©sident dans l’affaire ukrainienne qui ont fini par amener Mme Pelosi Ă  engager la procĂ©dure de destitution. Au grand dam de l’intĂ©ressĂ© qui n’y voyait que mesquinerie », obscĂ©nitĂ© », corruption » et empiĂ©tement partisan sur sa prĂ©rogative. Son inculture politique ne le disposait pas Ă  concevoir que solliciter d’un chef d’État Ă©tranger, sous la menace, des vilenies sur un adversaire politique Ă©tait une violation de la Constitution.” Strictement tout dans ce paragraphe est faux. Il n’y a eu aucun agissement dĂ©lictueux du PrĂ©sident Trump. La procĂ©dure de destitution a Ă©tĂ© engagĂ©e sans aucun fondement et en violation de la Constitution. Trump a eu parfaitement raison de parler de mesquinerie, obscĂ©nitĂ©, corruption, et empiĂ©tement partisan sur sa prĂ©rogative, et il a mĂȘme parlĂ© de tentative de coup d’Etat, pour des motifs trĂšs fondĂ©s. Il n’a aucune inculture politique et travaille avec quelques-uns des plus grands juristes et politologues amĂ©ricains. Il n’a rien sollicitĂ© d’un chef d’Etat Ă©tranger et n’a profĂ©rĂ© aucune menace. Il n’a sollicitĂ© aucune vilenie sur un adversaire politique, et a simplement dit que la justice amĂ©ricaine s’intĂ©ressait aux liens de corruption entre Joe Biden, son fils, et les anciennes autoritĂ©s ukrainiennes, ce dans le cadre d’un accord de coopĂ©ration judiciaire existant entre l’Ukraine et les Etats-Unis. Trump n’a pas une seule seconde violĂ© la Constitution. Par contre, Nancy Pelosi et ses acolytes, en tĂȘte desquels le sordide Adam Schiff, l’ont gravement violĂ©e, oui. Comment peut-on mentir et falsifier les faits Ă  ce point !!! L’article s’appelle “Pourquoi Trump est bien parti pour ĂȘtre réélu”. Si Ran Halevi mĂšne ses recherches au CNRS comme il Ă©crit ses articles, on peut comprendre pourquoi le CNRS est une institution sinistrĂ©e qui gaspille l’argent des contribuables. Ran Halevi est un imposteur qui piĂ©tine la connaissance qu’il est censĂ© respecter. La France inclut un nombre impressionnant de charlatans de son espĂšce. Ils pullulent et sont hĂ©gĂ©moniques. C’est pour cela que la France en est lĂ  oĂč elle en est. Tout au bord du prĂ©cipice. Je n’ai pas lu le plus rĂ©cent livre du journaliste de gauche appelĂ© Guillaume DebrĂ©, fils de l'inĂ©narrable Jean-Louis. Je ne le lirai pas. Les premiĂšres pages disponibles sur le site de la librairie en ligne Amazon m’ont amplement suffit. C’est Ă  l’évidence un livre dĂ©bile, dĂ©sinformateur, arrogant, Ă©crit par un journaliste français qui se pense supĂ©rieurement intelligent, qui a Ă©pousĂ© une AmĂ©ricaine de gauche et qui semble aussi dĂ©bile que son livre. Il a passĂ© seize ans aux Etats-Unis, sans doute dans l’une des grandes villes de la cĂŽte Est. Il semble ĂȘtre allĂ© chez ses beaux-parents en se pinçant le nez et en les prenant pour des abrutis, puisqu’ils votent Trump. Le livre qu’il a Ă©crit doit ĂȘtre les deux centiĂšmes Ă  cracher sur Trump Ă  ĂȘtre paru en langue française. C’est aussi avec Le monde selon Trump de Nicole Bacharan l’un des plus consternant par la bĂȘtise qui l’imprĂšgne. Le sujet du livre est les tweets de Trump. Et le livre s’appelle Je twitte donc je suis. Ce que Guillaume DebrĂ© n’a visiblement pas compris est que Trump a choisi de recourir aux tweets pour communiquer de maniĂšre directe avec la population amĂ©ricaine, sans que ses paroles soit filtrĂ©es et dĂ©formĂ©es par les journalistes de gauche dĂ©biles et nocifs tels que Guillaume DebrĂ©. Et ce qu’il n’a pas compris est que cela fonctionne 78 millions de personnes suivent Trump sur Twitter. Ce qu’il n’a pas compris non plus est que Donald Trump a un immense sens de l’humour, et comme Guillaume DebrĂ© est trĂšs bĂȘte, il prend ce que Trump Ă©crit au deuxiĂšme ou au troisiĂšme degrĂ© au premier degrĂ©. Guillaume DebrĂ© a l’intelligence du taureau qui fonce en direction du chiffon rouge qu’on agite devant lui. Aux Etats-Unis, les journalistes de gauche dĂ©biles du style de Guillaume DebrĂ© se gardent bien de dĂ©battre avec des journalistes conservateurs, car ils savent qu’au bout de trente secondes leur imposture deviendrait flagrante. En France, ils se trouvent trĂšs rarement devant des journalistes conservateurs, car il y en a trĂšs peu, et qu’ils appartiennent Ă  une espĂšce en voie de disparition. Ce que Guillaume DebrĂ© se garde bien de dire est que Donald Trump peut Ă©crire de maniĂšre vive, mais le fait toujours en riposte aux attaques ignobles dĂ©versĂ©es contre lui par des journalistes de gauche qui ont la dĂ©bilitĂ© non seulement nocive, mais haineuse. Il accuse Donald Trump de “diviser l’AmĂ©rique” et ne dit pas que Donald Trump dans chacun de ses discours, et j’en ai Ă©coutĂ© beaucoup, tient des paroles s’adressant au peuple amĂ©ricain tout entier, sans distinction de race, de religion ou de conviction, mais se trouve sans cesse confrontĂ©, depuis la premiĂšre seconde de son accession Ă  la prĂ©sidence, Ă  des journalistes de gauche qui ont la dĂ©bilitĂ© haineuse, et Ă  des politiciens de gauche sordides et enragĂ©s tels que ceux qui transformant les dĂ©bats organisĂ©s au cours des Ă©lections primaires dĂ©mocrates en pugilat verbal frĂ©nĂ©tique. Ce dont Guillaume DebrĂ© se garde bien de parler est de la politique suivie par Donald Trump, sans doute parce qu’il a l’esprit engluĂ© dans sa propre dĂ©bilitĂ©. Je pourrais dire qu’il parle d’abord et qu’il rĂ©flĂ©chit aprĂšs, mais la deuxiĂšme partie de la phrase serait en trop. Il parle d’abord, et s’abstient de rĂ©flĂ©chir. J’ai dĂ©couvert son livre en regardant une Ă©mission de Pascal Praud, que je prenais pour un journaliste intelligent, mais en prĂ©sentant le livre, Pascal Praud a dĂ©crit Trump en quelques adjectifs tirĂ©s du livre de Guillaume DebrĂ© et s’est abaissĂ© au niveau de Guillaume DebrĂ© il a dĂ©crit avec dĂ©lectation Trump comme “grossier, vulgaire, dĂ©bile et violent”. Il a citĂ© des traductions de tweets de Donald Trump qui sont dĂ©fectueuses et malveillantes. Guillaume DebrĂ© traduit crooked Hillary par “Hillary la pourrie”, alors qu’une traduction digne de ce nom dirait “Hillary la tordue”, ou “Hillary la tortueuse”. Ce qui est une description pertinente de Hillary Clinton. Sur le plateau, il y avait Harold Hyman, un journaliste de gauche malhonnĂȘte plĂ©onasme avec lequel j’ai Ă©tĂ© invitĂ© Ă  dĂ©battre lors d’une de mes confĂ©rences en France il y a quelques mois. Ses raisonnements face Ă  moi Ă©taient si piĂštres et d’une telle mauvaise foi qu’il s’est fait constamment huer par la salle. A la tĂ©lĂ©vision, le public est Ă  distance, et donc il est possible de tenir des propos malhonnĂȘtes sans se faire huer. Harold Hyman a dĂ©crit une rĂ©ponse de Donald Trump Ă  un journaliste CNN appelĂ© Jim Acosta, et a dit que Trump avait Ă©tĂ© “agressif” avec ce journaliste et avait “diffamĂ© CNN”. Deux mensonges en une seule phrase ! Trump n’a pas Ă©tĂ© agressif avec Jim Acosta, il lui a dit qu’il Ă©tait malhonnĂȘte parce que Jim Acosta ne cesse de mentir sur Trump, et Trump appelle menteur un menteur. Une dĂ©finition n’est pas une agression. Jim Acosta, lui, s’est montrĂ© souvent agressif, y compris agressif physiquement avec une assistante de Trump. Vivant aux Etats Unis, je peux le voir, ce qui n’est pas le cas des tĂ©lĂ©spectateurs français. Trump dĂ©nonce rĂ©guliĂšrement CNN en utilisant une expression qu’il a forgĂ©e et qui est reprise dĂ©sormais dans le monde entier, fake news. Et il a entiĂšrement raison. CNN dĂ©bite des fausses nouvelles Ă  jet continu, Ă  un point tel que lorsque je passe sur CNN pendant la pause publicitaire d’une chaine d’information, Fox News, j’ai rapidement la nausĂ©e, et je prĂ©fĂšre retourner vers Fox News qui est, oui, une chaine d’information. Sur chaque sujet traitĂ© depuis le dĂ©but de la prĂ©sidence Trump, ce qui a Ă©tĂ© dit sur Fox News s’est vĂ©rifiĂ©, tout ce qui a Ă©tĂ© dit sur CNN a Ă©tĂ© rĂ©futĂ© et s’est effondrĂ©. Il y avait sur le plateau de l’émission Sophie de Menthon, une femme que je connais bien et que j’estime, et elle a pu dire quelques mots pertinents. Bien trop peu. Il y avait aussi un homme pour qui j’ai de l’amitiĂ© depuis longtemps, car il fait partie de ceux qui sauvent l’honneur du journalisme français, Ivan Rioufol, et il a rappelĂ© que Trump avait une stratĂ©gie et une doctrine, obtenait des rĂ©sultats et incarnait une pensĂ©e politique qui gagne du terrain sur la planĂšte, le conservatisme national. Ivan a aussi dit que Donald Trump dĂ©fendait ceux que les Ă©lites autoproclamĂ©es de la cĂŽte Est mĂ©prisent. Il est dommage qu’il n’ait pu en dire davantage. Il s’est attirĂ© le sourire ironique de Guillaume DebrĂ©, bien sĂ»r
 Il en va ainsi dans les dĂ©bats Ă  la française un ocĂ©an d’ignominie est censĂ© se trouver compensĂ© par un milligramme d’intelligence et de pertinence
 J’ai bien trop parlĂ© de Guillaume DebrĂ© et de son livre. Je ne l’ai pas lu et je ne le lirai pas, non. Je voulais en parler car c’est un Ă©chantillon de la dĂ©sinformation Ă  la française sur Trump, juste un Ă©chantillon. Guillaume DebrĂ© avait Ă©crit auparavant deux livres sur Obama, qu’il avait dĂ©crit comme “fascinant d’intelligence”. Tout un programme
. Je conseille plutĂŽt Ă  ceux qui me lisent la lecture du plus rĂ©cent livre d’Ivan Rioufol, sur lequel je reviendrai. Le livre s’appelle Les traitres. Guillaume DebrĂ© n’y est pas citĂ©, mais le livre d’Ivan Rioufol dĂ©crit les gens de l’espĂšce de Guillaume DebrĂ©. Guillaume DebrĂ© est censĂ© ĂȘtre journaliste. Il ne l’est pas. Je ne peux pas mĂȘme le qualifier de propagandiste. Il n’est pas assez intelligent pour ĂȘtre un propagandiste digne de ce nom. Il est prĂ©sentĂ© comme spĂ©cialiste des Etats-Unis. C’est un bien beau spĂ©cialiste, digne de figurer au cĂŽtĂ© de Nicole Bacharan, Corentin Sellin, Jean Eric Branaa. Ils disent n’importe quoi dĂšs qu’ils ouvrent la bouche. Ils ne peuvent pas organiser de diners de con ils sont tous hors concours et ne pourraient dĂ©signer parmi eux lequel mĂ©rite le titre d’invitĂ© de dĂ©shonneur. PS. Je viens de lire un article d’un dĂ©nommĂ© Ran Halevi. Je ne connais pas Ran Halevi, et je n’ai pas envie de le connaitre. Il devrait rencontrer Guillaume DebrĂ©, ils ont beaucoup en commun. Ran Halevi est directeur de recherche au CNRS. Il devrait savoir de quoi il parle et respecter la connaissance. Il Ă©crit dans l’article ce qui suit “Ce sont les agissements dĂ©lictueux du prĂ©sident dans l’affaire ukrainienne qui ont fini par amener Mme Pelosi Ă  engager la procĂ©dure de destitution. Au grand dam de l’intĂ©ressĂ© qui n’y voyait que mesquinerie », obscĂ©nitĂ© », corruption » et empiĂ©tement partisan sur sa prĂ©rogative. Son inculture politique ne le disposait pas Ă  concevoir que solliciter d’un chef d’État Ă©tranger, sous la menace, des vilenies sur un adversaire politique Ă©tait une violation de la Constitution.” Strictement tout dans ce paragraphe est faux. Il n’y a eu aucun agissement dĂ©lictueux du PrĂ©sident Trump. La procĂ©dure de destitution a Ă©tĂ© engagĂ©e sans aucun fondement et en violation de la Constitution. Trump a eu parfaitement raison de parler de mesquinerie, obscĂ©nitĂ©, corruption, et empiĂ©tement partisan sur sa prĂ©rogative, et il a mĂȘme parlĂ© de tentative de coup d’Etat, pour des motifs trĂšs fondĂ©s. Il n’a aucune inculture politique et travaille avec quelques-uns des plus grands juristes et politologues amĂ©ricains. Il n’a rien sollicitĂ© d’un chef d’Etat Ă©tranger et n’a profĂ©rĂ© aucune menace. Il n’a sollicitĂ© aucune vilenie sur un adversaire politique, et a simplement dit que la justice amĂ©ricaine s’intĂ©ressait aux liens de corruption entre Joe Biden, son fils, et les anciennes autoritĂ©s ukrainiennes, ce dans le cadre d’un accord de coopĂ©ration judiciaire existant entre l’Ukraine et les Etats-Unis. Trump n’a pas une seule seconde violĂ© la Constitution. Par contre, Nancy Pelosi et ses acolytes, en tĂȘte desquels le sordide Adam Schiff, l’ont gravement violĂ©e, oui. Comment peut-on mentir et falsifier les faits Ă  ce point !!! L’article s’appelle “Pourquoi Trump est bien parti pour ĂȘtre réélu”. Si Ran Halevi mĂšne ses recherches au CNRS comme il Ă©crit ses articles, on peut comprendre pourquoi le CNRS est une institution sinistrĂ©e qui gaspille l’argent des contribuables. Ran Halevi est un imposteur qui piĂ©tine la connaissance qu’il est censĂ© respecter. La France inclut un nombre impressionnant de charlatans de son espĂšce. Ils pullulent et sont hĂ©gĂ©moniques. C’est pour cela que la France en est lĂ  oĂč elle en est. Tout au bord du prĂ©cipice. Guy MilliĂšre Avec l'aimable autorisation de Jean-Patrick Grumberg, Guy MilliĂšre, spĂ©cialisation Ă©conomie, gĂ©opolitique. Titulaire de trois doctorats, il est professeur Ă  l'UniversitĂ© Paris VIII Histoire des cultures, Philosophie du droit, Economie de la communication et MaĂźtre de confĂ©rences Ă  Sciences Po, ainsi que professeur invitĂ© aux Etats-Unis. Il collabore Ă  de nombreux think-tanks aux Etats-Unis et en France. Expert auprĂšs de l’Union EuropĂ©enne en bioĂ©thique, ConfĂ©rencier pour la Banque de France. Ancien visiting Professor Ă  la California State University, Long Beach. Traducteur et adaptateur en langue française pour le site Editorialiste Ă  la Metula News Agency, IsraĂ«l Magazine, Frontpage Magazine, Membre du comitĂ© de rĂ©daction d’Outre-terre, revue de gĂ©opolitique dirigĂ©e par Michel Korinman. RĂ©dacteur en chef de la revue Liberalia de 1989 Ă  1992 Il a participĂ© aux travaux de l'American Entreprise Institute et de l'Hoover Institution. Il a Ă©tĂ© confĂ©rencier pour la Banque de France, Il a participĂ© Ă  l'Ă©dition d'ouvrages libĂ©raux contemporains comme La constitution de la libertĂ© de Friedrich Hayek en 1994 dans la collection Liberalia, puis dans la collection Au service de la libertĂ© » qu'il a créée aux Ă©ditions Cheminements en 2007. Il a Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©dacteur en chef de la revue Ă©ponyme Liberalia de 1989 Ă  1992. Il a Ă©tĂ© vice-prĂ©sident de l'Institut de l'Europe libre ainsi que PrĂ©sident et membre du conseil scientifique de l'Institut Turgot. Il fait partie du comitĂ© directeur de l'Alliance France-IsraĂ«l prĂ©sidĂ©e par Gilles-William Goldnadel. Il est l'auteur de plus d'une vingtaine d'ouvrages. RĂ©pandez l'amour du partageAge De Guillaume DebrĂ©Age De Guillaume DebrĂ© – Il s’appelle Guillaume DebrĂ©, il est journaliste et chroniqueur français. Il est le fils de Jean-Louis DebrĂ©, prĂ©sident du Conseil constitutionnel, et de son Ă©pouse, Anne-Marie dĂ©cĂ©dĂ©e le 21 juillet 2007. Il a travaillĂ© comme reporter pour CNN, TF1 et LCI, entre a rapportĂ© de grands Ă©vĂ©nements des États-Unis en temps rĂ©el. Reuters comme les attentats du 11 septembre 2001, l’élection de Barack Obama, son investiture, etc. En l’an 2020, le 29 janvier, All of Bercoff dĂ©clare “Je tweet donc je suis” l’auteur Guillaume DebrĂ© rencontre AndrĂ© Bercoff aux Editions Trump s’est rendu compte que le peuple amĂ©ricain ne se sentait pas reprĂ©sentĂ© par l’establishment”, a dĂ©clarĂ© G. DebrĂ©. Chef du service information de TF1, Guillaume DebrĂ© a passĂ© seize ans aux États Unis en tant que journaliste pour CNN et correspondant Ă  nombreux livres notables sur la politique amĂ©ricaine ont Ă©tĂ© Ă©crits par lui, notamment le livre “Obama” 2001. Washington et les secrets du pouvoir Fayard, 2008. Comment la dĂ©mocratie amĂ©ricaine a Ă©tĂ© dĂ©truite par le pouvoir de l’argent Fayard, 2016. Le journal emploie un journaliste français du nom de Guillaume personne est le fils du prĂ©sident du Conseil constitutionnel Jean-Louis DebrĂ©. De plus, il est l’enfant d’Anne-Marie DebrĂ©, actrice française dĂ©cĂ©dĂ©e le 21 juillet 2007. Aux États-Unis, il a assistĂ© en personne Ă  des Ă©vĂ©nements clĂ©s comme les attentats du 11 septembre 2001, l’élection de Barack Obama, son investiture, etc..En 2020, Sud Radio sera lancĂ©e en ligne. toutes les incarnations de Berkoff Un prix a Ă©tĂ© dĂ©cernĂ© Ă  AndrĂ© Berkoff. Je tweete, donc je suis est Ă©crit par Guillaume DebrĂ©. Comme le dit G. DebrĂ©, Trump “comprend que les AmĂ©ricains ne se sentent pas entendus par l’élite”. Age De Guillaume DebrĂ©Parce que j’étais intriguĂ© par l’idĂ©e d’écrire pour une autre chaĂźne de tĂ©lĂ©vision publique que TF1, c’est comme ça que j’ai fini par faire. Le correspondant de TF1 Ă  Washington nommĂ© Guillaume DebrĂ©. C’était le dĂ©but du dĂ©but pour tout le monde et pour fils du prĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale, Jean-Louis DebrĂ©, Robert Namias, a Ă©tĂ© nommĂ© successeur du directeur gĂ©nĂ©ral adjoint de TF1, Robert Namias. L’équipe de rĂ©daction Ă©tait mĂ©contente de deux aspects du projet. Les liens de Guillaume DebrĂ© avec TF1 peuvent indiquer que le gouvernement et TF1 travaillent direction de la chaĂźne fait valoir que “le fait que vous vous appeliez DebrĂ© ne doit pas vous empĂȘcher d’aller travailler”. AprĂšs avoir Ă©tĂ© promu Ă  la tĂȘte de TF1 aux Etats-Unis, Guillaume DebrĂ© va pouvoir “agrandir son bureau de Washington”. Selon la station, le nouvel employĂ© a Ă©tĂ© qualifiĂ© de “professionnel total”.Depuis lors, ils sont basĂ©s aux États-Unis, oĂč ils ont Ă©tĂ© employĂ©s par CNN. En tant qu’assistant producteur, il travaille au bureau new-yorkais de CNN. Aucun poste analogue n’existe en France combinant ainsi les fonctions d’assistant et de journaliste. Marcel Caron, rĂ©dacteur technique et consultant pour Robert Namias, est Ă©galement dĂ©lĂ©guĂ© CFTC, principal syndicat de l’ essaie d’excuser ses actions, mais cela ne fonctionne pas. De ce fait, l’équipe de montage aura moins de temps, selon M. Caron. Le 13 avril, il publie un essai dans Le Monde dans lequel il argumente Ă  la lumiĂšre du succĂšs de CNN pour la crĂ©ation d’une chaĂźne d’information les jours qui ont suivi, le prĂ©sident de CNN International, Chris Cramer, n’était pas satisfait de ce qu’il avait initiĂ©. Lock Berrou, alors basĂ© Ă  Paris, devait ĂȘtre remplacĂ© par Gilles Bouleau. Birch a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Londres. Cette modification a Ă©tĂ© mise en attente pour le directeur gĂ©nĂ©ral adjoint de l’information de TF1 a dĂ©clarĂ© lors d’une rĂ©union que “le lĂ©ger retard” dans le recrutement n’avait touchĂ© que la rĂ©daction de TF1 Ă  Paris, pas le reste de l’entreprise. Les rĂ©dacteurs ont Ă©tĂ© interloquĂ©s lorsqu’ils ont dĂ©couvert l’existence de ce nouveau membre de l’ a suscitĂ© beaucoup d’intĂ©rĂȘt. Le 3 mai, une rĂ©union de journalistes et d’experts en technologie d’édition s’est tenue “tranquillement” afin d’examiner la situation actuelle. Guillaume DebrĂ© a travaillĂ© comme “assistant producteur” Ă  New York pendant six ans, un poste qui se situait entre journaliste et producteur est le titre donnĂ© Ă  la personne en charge de ce poste. Malheureusement, il ne semble pas que “l’expert” Guillaume DebrĂ© rejoigne de sitĂŽt les bureaux de TF1 Ă  Washington. C’est ce que prĂ©tend Robert Namias. “Office manager”, selon Le Monde, “dont le profil n’est pas finalisĂ©â€.Il semble que Guillaume DebrĂ© ne rejoindra pas les bureaux de Washington de TF1 en tant qu'”expert”. Robert Namias prĂ©tend que c’est le cas. “Le profil du chef de bureau n’est pas finalisĂ©â€, rapporte Le Monde, et il devrait rendre compte Ă  cette personne. Aux yeux de certains, TF1 et la droite pourraient ĂȘtre accusĂ©s de collusion Ă  cause de cette la rĂ©putation de DebrĂ© l’a empĂȘchĂ© de travailler, la direction a rapidement ignorĂ© l’argument. Ils affirment que ce sont les dirigeants de TF1 qui ont fait l’annonce. Pour cĂ©lĂ©brer l’artiste de la famille, la Touraine organisera de nombreuses expositions d’ De Guillaume DebrĂ©